Si ses textes tournent autour de thèmes assez classiques du monde du rap, Maui Lacaze (de son vrai nom) alias SAMO arrive néanmoins à les...
Ni son apparence, ni son physique ne nous auraient amenés à penser que l’homme qui se tient devant nous est Directeur de centre de vacances,...
Employé à Météo-France, à la banque Socredo, aux Archives territoriales, à la Direction de l’Agriculture, musicien et enfin maire de Tumaraa, Albert Guilloux-Chevalier est devenu,...
Les vagues de la passe d’Avatoru résonnent dans la servitude où Jems Torii a installé son atelier de tatouage. Sur l’atoll de Rangiroa aux Tuamotu, cet artiste a gravé dans le bois, dans la nacre et sur la peau ses dessins sans cesse renouvelés.
Tereora Chung-Tehio, dit Torrra, tahitien expatrié dans l’Hexagone, a l’esprit du voyageur. Hommes de Polynésie est allé à la rencontre de ce jeune créatif qui s’adonne au dessin, à la photo et au tatouage, inspiré par le monde.
Entre deux ateliers d’expression théâtrale, Romain Maréchal accorde à Hommes de Polynésie un peu de son temps. Débordant d’imagination et d’audace, il nous conte son histoire de vie pleine de projets ambitieux.
Tāhiri Sommer a 30 ans et est un enfant de Tahiti. Artiste pluridisciplinaire inspirant et inspiré, il a accepté de se confier à Hommes de Polynésie. Il nous dévoile ici son parcours, ses inspirations et un peu de sa personnalité colorée.
Dans la douceur d’un après-midi, bercé par la fraîcheur de l’hiver austral touchant bientôt à sa fin, Hommes de Polynésie part à la rencontre de Areatua Parau, un tāne fier de sa culture et compositeur pour de nombreux spectacles présentés à l’occasion du heiva i Tahiti et du Hura Tapairu.
Il a représenté la Polynésie en France, en Australie, en Nouvelle-Zélande, aux Iles Salomon : Naël Roux est le nageur du fenua à suivre. Ce jeune homme de 18 ans vient de finir le lycée à Tahiti et part pour l’hexagone afin de poursuivre ses études et ses défis sportifs. Hommes de Polynésie a pu le rencontrer avant son départ, pour évoquer ses défis, ses projets, et sa passion : la nage.
Entre deux accalmies, Hommes de Polynésie part à la rencontre de Tehono Sandras, professeur d’art-plastique et traileur autodidacte. Le jeune homme éperdu de sensations fortes autant que de paix, nous accueille dans sa dualité et nous confesse ses projets à venir.