«Se rapprocher de nos Anciens et prendre le temps de les écouter n’est pas un besoin, c’est un devoir. » Lionel Cuveiller, réalisateur de la série documentaire Parau Pa’ari – Secrets d’Anciens.
Hommes de Polynésie, piqué d’intérêt pour le projet, rencontre un homme qui œuvre pour préserver un héritage culturel inestimable, tout en rendant hommage aux histoires de vie inspirantes de personnages emblématiques.
L’ombre d’un arbre nous protège du soleil ardent et l’herbe douce invite aux conversations lourdes de sens. Dans cette ambiance propice au partage, Hommes de Polynésie fait la connaissance de Thomas Wagener qui, comme beaucoup de jeunes de sa génération, tente de se reconnecter à la culture qui l’a vu grandir.
La journée s’achève et le soleil continue sa route vers l’ouest, pour disparaître derrière l’horizon. C’est à cette lumière dorée, typique des derniers instants de...
Son caractère curieux et enjoué apporte à l’entreprise une touche d’allégresse légère qui se ressent tant auprès des clients que des agents qui le côtoient.
« Ma pierre à l’édifice, c’est que je suis polyvalent et ouvert d’esprit. Je n’ai peut-être pas forcément le bagage universitaire, mais j’ai le côté pragmatique. J’essaye de garder la bonne humeur, la convivialité entre les membres de l’équipe. »
Dans le Hang’Art, atelier d’artistes où naissent les idées créatives et les collaborations, nous retrouvons William Kremer, menuisier passionné de surf et de bois. Hommes de Polynésie vous présente cet artisan qui partage sa vie entre la terre et la mer, entre le tangible et l’évasion.
Le nom de Tamatoa Teriierooterai n’est pas encore connu, mais déjà il bouleverse les codes de la mode polynésienne. Hommes de Polynésie vous présente un jeune homme haut en couleur et qui ne craint pas de rêver en grand.
Artiste aux multiples talents et à l’inspiration débordante, Ken Hardie n’est plus à présenter. C’est cependant avec l’intime conviction qu’il y a encore plus à découvrir que ce qui a déjà été perçu, que Hommes de Polynésie part à la rencontre de cette personnalité riche en opinion, en expériences et en dextérité.
Quelques-uns concrétisent leurs idées avec un pinceau et une toile, certains avec des perles et un fil, d’autres encore avec une voix et un micro. C’est avec sa caméra et son ordinateur que cet artiste s’exprime. De l’écriture d’un projet à sa mise en place, de la réalisation à l’arrangement des plans, de tournage en tournage, il évolue et se construit, bâtisseur d’univers, créateur de rêves.
Aux abords du jardin botanique, l’intarissable rivière Faaroa nous berce de son flux perpétuel se mêlant aux ramages de l’avifaune peuplant la vallée. Dans ce décors emblématique de l’île sacrée, une maison de pêcheur apparaît sur la berge et un homme y est agréablement établi. Nous voici face à André Taero, agriculteur de métier qui accepte en un sourire de partager sa vision de la vie avec Hommes de Polynésie.
C’est dans l’enceinte de la maison de la culture, lieu où se mêlent modernité et traditions que Hommes de Polynésie part à la rencontre de Teiva Manoi, dit Minos.